Enfants

La magie de Noël et les enfants

Et vous, comment faites-vous avec vos enfants ? Vous gardez en secret l’identité du Père Noël où vous êtes plutôt dans l’explication de la vérité ?

Les fêtes de fin d’année approchent à grands pas, petits et grands nous commençons à y penser, nous commençons à rêver de ces beaux moments partagés avec nos êtres chers. Les magasins se remplissent, les lumières des grandes et des petites villes sont allumées et des jolies guirlandes illuminent notre quotidien. Les sapins retrouvent aussi leur place.

Voilà pour le décor. Mais, où est la réalité dans tout ça ? Il y a plein de gens qui n’aiment pas les fêtes de Noël et de fin d’année. Des gens qui ont le coeur brisé et ne ressentent pas le besoin de fêter quoi que ce soit. Mais il faut, tout de même, afficher le sourire. D’autres, par contre, sont ravis et émus rien que de se projeter à ces jours à venir, aux cadeaux qu’il vont sans doute offrir et recevoir, aux voyages, aux paillettes et aux chansons de Noël… Jingle Bells Jingle Bells ! Cela c’est pour les grands.

Les petits, eux, préparent aussi à leur manière la venue de ces quelques jours de jolies étoiles, de longues matinées en pyjama et de journées à se faire gâter. Ce qui est très bien. A l’école il y a ceux qui apprennent les petites comptines de saison, les autres qui s’entrainent aux prestations de fin d’année avec pour décor l’histoire de Noël, les autres qui répètent avec leur chorale, enfin, un rythme bien soutenu, histoire d’arriver à la veille de Noël bien fatigués 🙂

Mais ça tout le monde le sait, à peu près tout le monde vit la même chose dans ce joli mois de décembre.

Je reviens donc à la question qui ouvre ce billet. Comment faut-il gérer la partie « magie » de ces fêtes de fin d’année vis-à-vis des enfants ? J’en entends de toutes les couleurs, chacun fait de son mieux où selon ses croyances. Il y a ces enfants qui dès bien petits sont au courant de qui est/sont, en vrai, le Père Noël et ces autres enfants qui ne le savent que très tard. Faut-il entretenir le rêve ? Ou bien croyez-vous que dans l’état actuel des choses, dans un monde où la naïveté n’a guère de place, est-il absurde de faire croire à ce genre de choses ?

Moi, comme à mon habitude, je pense que le mieux est de trouver un équilibre. Pour les enfants cette magie est tellement belle qu’il faut pas la rompre sans de vraies raisons, mais tout ça sans tomber dans un monde de bisounours complétement irréaliste.

La question est posée, je reste à votre écoute 🙂

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Inspiration

La vida es para vivirla no para que nos la vivan

Muchas veces a la gente o todo le parece bien o todo le parece mal. Cuando todo nos parece bien, seguimos caminando a través de esa línea como si fuéramos corderitos, estamos contentos y felices con ese « todo nos parece bien » y no andamos con rollos de replanteamientos ni nada. Creemos y tenemos fe en esa cosa o en esa persona que hace o hacen que todo nos parezca estupendo. En cambio, cuando todo nos parece mal solemos armar la de San Quintín, o al menos lo intentamos. Cuando la cosa no nos gusta, cuando el asunto nos parece feo, nos subimos por las paredes, nos enfadamos, criticamos, insultamos, criticamos aun más y …. pocas cosas se resuelven. Al final del camino nada ha cambiado, o pocas cosas.

Y digo yo, no sería mejor, dejar de afincarnos en esa crítica constante para dar paso a algo con más movimiento, algo que nos produzca el placer de ver y sentir que las cosas pueden cambiar, y todo empezando por nosotros mismos. No creo que se deba esperar a que los otros, o el mundo, o la sociedad en la que vivimos haga ese trabajo de modificación por mi. Mi felicidad, mi alegria, mi sentirme bien nace y reside exclusivamente en nosotros mismos. Cada uno de nosotros poseemos ese saber-hacer, desgraciadamente lo que no dominamos tan bien es lo de explotar esa capacidad personal que nos llevará al cambio y a la satisfacción.

No esperemos a que los otros hagan nuestro trabajo. La vida es para vivirla no para que nos la vivan. No ayudemos a aumentar la crítica, contribuyamos a que la crítica se convierta en otra cosa, en algo de positivo, en lo que era nuestro objetivo primero. Porque lo más importante es vivir acorde con uno mismo.

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Inspiration

J’ai lu « Finding Your Feet in Chicago », de Véronique Martin-Place

Lorsqu’on a beaucoup déménagé, quand on a souvent été obligés de faire entrer toute une vie dans à peine plus d’une valise et quand on sait ce que c’est que d’avoir l’estomac noué à la perspective d’arriver dans une nouvelle ville, encore inconnue, on a tout de suite envie de se plonger dans la lecture de ce livre, écrit par Véronique Martin-Place, Française expatriée depuis déjà un certain nombre d’années.

Véronique a voulu écrire ce livre afin de rendre plus facile l’adaptation des familles qui débarquent à Chicago. En effet il est très différent d’arriver tout seul dans une nouvelle ville qu’atterrir à 3 ou 4 ou 5 entre parents et enfants. Finding your feet in Chicago s’adresse en particulier aux familles même si n’importe quel nouvel expat peut y trouver son compte. Il s’agit d’un livre aux conseils très pratiques, des réponses à ce genre de questions que l’on pose parfois à notre voisin ou à notre nouveau collègue. Mais le tout dans un seul et unique livre.

Déménager, changer de ville, changer de pays, s’ouvrir à d’autres cultures et à d’autres personnes n’est pas toujours évident. Même quand c’est un choix, même quand c’est quelque chose de voulu et de rêvé, la réalité fait que parfois il y ait des moments de doute, des instants difficiles de remise en question à ne pas savoir quels doivent être ses premiers pas de nouvel habitant. Et c’est là que Véronique Martin-Place avec Finding your feet in Chicago entre en action.

Le livre est composé de six grands chapitres, dans un ordre logiquement lié à la chronologie des besoins qui se créent une fois arrivés dans cette nouvelle ville qu’est Chicago. Depuis l’installation de la famille, côté pratique : recherche de maison, recherche d’école, trouver un médecin ou faire les premiers achats, en passant par la vraie adaptation et intégration à une vie américaine ou comment créer des liens sociaux et amicaux. Dans les derniers chapitres l’auteure offre au lecteur une liste d’adresses incontournables à la survie de toute la famille, une sorte de répertoire d’endroits et de ressources magiques pour rendre la vie belle et se sentir, ainsi, comme à la maison. Car voilà le plus important : être ailleurs tout en se sentant comme à la maison ! Home sweet home !

A la fin de la lecture de Finding your feet in Chicago je me suis dit que c’était le livre que j’aurais voulu avoir à chaque fois que je me suis sentie un peu perdue en mettant les pieds dans de nouvelles villes pour y habiter. C’est un livre à garder près de soi, dans le sac à main ou sur la table de chevet afin de pouvoir le consulter presque tous les jours. Le livre que Véronique Martin-Place a écrit est un livre qui devrait exister pour toutes les villes du monde.51m8TGHx+pL