Je vous livre aujourd’hui un petit jeu de mots réalisé à partir de la lettre P. J’avais déjà fait cet exercice mental, linguistique et littéraire en espagnol et je dois dire que j’en étais plus fière. Comme quoi les langues ne sont pas pareilles et ne peuvent pas recevoir le même traitement. En espagnol ce petit paragraphe avait donné quelque chose de chantant, de mignon et ce côté poétique je ne le retrouve plus en français. Hélas.
Par ce paragraphe je fais passer un message, je veux dire que je ne me suis pas restreint à coller des mots qui commencent par P, bien au contraire je suis allée creuser dans mon cerveau pour trouver des mots en P qui m’aident à exprimer ce que je voulais dire.
Pourquoi j’ai choisi le P ? Et bien je n’ai pas de raison, juste comme ça, après dix secondes de réflexion j’ai cru que c’était la lettre avec laquelle je pourrais jouer le plus… Peut-être que je devrais faire cet exercice tous les jours avec une lettre différente !
Et en cadeau une photo de marionnettes, prise à Prague… qui commence par P !
A vous de lire maintenant :
Parce que pour pouvoir penser, passons précisément par période pittoresque ; Peindre par propres pas, paysages poétiques, précieuses paroles par petits pinceaux.
Peignons personnes parfaitement poétiques, pensons parenthèses pleinement participatives. Participantes puisque planète pâlit, pour palier principaux problèmes périphériques
Pentagramme, polka, peuples prêts pour passer pathétisme, pour provoquer passages privilégiant ponts prévisibles. Prestige puits polyglottes, perpétuant pérennité personnes pensives, parlantes, plaisirs privilégies.
Prisons pénibles, presser privations personnelles pour pouvoir partir, places puissantes.
Pétunias, pensées…