Inspiration

Le temps d’une photo ~ El instante de una foto

Avant on comptait les photos qu’on faisait, il y avait des pellicules à changer, on avait le choix entre couleur et noir et blanc. Maintenant on ne compte plus les photos, on passe de nos numériques à nos smartphones, on a le choix entre teintes de couleur et autres réglages.

Avant avec nos pellicules on décidait d’une photo et maintenant on fait des photos et on décide par la suite laquelle on préfère.

blue sky

Si tout cela me parait très bien et que je trouve que c’est un plus énorme, une manière de démocratiser l’art de la photographie, je me pose, par contre, la question de savoir si on VIT le moment photographié.

instantes de verano

Jamais avant nous avions fait et partagé autant de clichés mais savons-nous vivre et sentir ce que nous sommes en train de graver dans un coin de nos écrans ?

Antes contábamos las fotos que hacíamos, teníamos que cambiar los carretes, podíamos elegir entre color y blanco y negro. Ahora ya no contamos las fotos, pasamos de nuestras cámaras digitales a nuestros smartphone, podemos elegir entre matices de colores y otros ajustes.

Antes con nuestros carretes decidíamos hacer una foto y ahora hacemos fotos y decidimos después cuál preferimos.

Si todo eso me parece perfecto y pienso que es un plus enorme y una manera de democratizar el arte de la fotografía, me pregunto, a la vez, si sabemos VIVIR ese instante fotografiado.

imágenes de verano

A veces tengo la impresión que algunas personas sólo tienen una idea en mente: tomar fotos para compartirlas rápidamente en las redes sociales, enviarlas por whatsapp, esperando así la reacción y/o reconocimiento por parte de los demás. Por lo que no puedo evitar preguntarme si esa gente vive y saborea el instante de esta foto o si, simplemente, están allí para únicamente tomar LA foto.

Nunca antes habíamos hecho y compartido tantos clichés pero ¿sabemos ahora vivir y sentir lo que estamos dejando grabado en un rincón de nuestras pantallas?

ciutadella - menorca

Enfants

Tu es maman et tu voyages seule en avion avec bébé ?

Petite Princesse a fêté ses 14 mois il y a une semaine. En ce court temps de vie, elle a voyagé 4 fois, successivement à ses 2 mois, 6 mois, 11 mois et 14 mois. Nous avons pu tester plusieurs formules : avion + avion avec seulement maman, avion + avion avec papa et maman, voiture + bateau avec papa et maman, avion directe avec seulement maman.

Stimuler son réflexe de succion

Le premier voyage, quand elle était toute petite, quand les gens vous disent « vous êtes sûre, elle est si petite… » est, je pense, celui qui s’est déroulé le plus tranquillement. Un bébé peut prendre un avion dès sa naissance, si tout s’est bien passé, il n’y a aucun risque. Il suffit juste de prendre une précaution : de le faire téter au décollage et à l’aterrissage. Il faut lui donner à boire (peu importe si c’est le sein ou le biberon) afin de stimuler son réflexe de succion et éviter, ainsi, les bourdonnements. Votre bébé voyagera sur vous, avec une ceinture de sécurité. Si jamais vous envisagez de voyager toute seule avec deux enfants de moins de 2 ans, sachez que certaines compagnies l’interdissent et que la présence d’un deuxième adulte est obligatoire. Pour notre part tout s’est bien passé. Petite Princesse étant très calme à l’époque, elle n’a pas pleuré, rien dit.

Il faut être très organisée

Il faut aussi être assez bien organisée, avoir biberon, tétine, doudou, papiers, documents, etc. à portée de main, car, la plupart du temps vous n’en aurez qu’une, de main, pour tout faire. Même si vous mettez votre enfant dans un porte-bébé, vous aurez un sac à main et des vestes si c’est l’hiver.

Si vous avez des escales…

Le plus dur et le plus fatigant ce n’est pas le vol en soi mais les escales et les attentes à l’aéroport. Veuillez à trouver des chariots avec un siège bébé intégré. Souvent, il y en a de deux sortes : des sièges pour les plus grands et des chariots avec des cosy. Sachez que pour aller rendre visite aux toilettes c’est aussi une petite galère, entre sac et bébe, la porte risque de ne pas fermer :-). Il faut être calme, patiente et ne pas s’énerver pour un rien.

Je n’ai presque pas besoin de dire que si vous voyagez avec un autre adulte, tout est, d’un coup, beaucoup plus facile. Quatre bras c’est mieux que deux !

charriot bébe aéroport

Des gens pour vous aider

Quand j’ai voyagé avec Petite Princesse à ses 6 mois, c’était à Noël. Le voyage aller j’étais toute seule, au retour il y avait aussi le papa. Je vous ai déjà expliqué que c’est moi et non pas elle qui a été malade. Ce n’a pas été facile, c’est un des risques que vous prenez aussi quand vous décidez de voyager toute seule (vous pouvez lire le récit entier par ici). Mais ne paniquez pas, les hôtesses et stewards sont là pour vous aider. Aux aéroports il y a des agents d’information qui peuvent aussi vous donner un coup de main et il y a des pharmacies. Pour ma part, lors de ce voyage, j’ai passé le temps d’attente du deuxième avion à l’aéroport de Barcelone, assise entre un point d’information et une pharmacie, même si je n’ai pas eu besoin d’eux, c’était une manière de me sentir plus en sécurité.

Les phases de décollage et d’atterrissage

Mon troisième voyage en solo avec ma petite c’était il y a quelques jours. Un vol directe Nantes-Minorque, un vrai régal. PapaChéri était là pour le départ, tu montes dans l’avion, opss, tu descends, et ça y est, t’es arrivée ! Trop bien ! Cette fois-ci, par contre, Petite Princesse était beaucoup moins calme. Le vol était à 21h30, un peu tard pour elle qui est couchée à 20h30. En plus à 14 mois, ça marche, ça veut tout voir, tout toucher, tout découvrir. Et surtout, ça ne veut pas rester assis quand IL FAUT RESTER assis, c’est-à-dire, pour les phases de décollage et atterrissage. J’ai donc du la forcer, elle n’a pas appréciée. Nous avons fait 40 allers-retours dans le couloir ! Souriez Madame, vous êtes filmée, oui, vous êtes un peu une attraction, enfin, votre fille, mais vu qu’elle ne parle pas vraiment, c’est à vous de traduire ce qu’elle dit, car un bébé fait rire les gens.

En poussette jusqu’à l’avion

Attention aussi aux mamans qui voyagent toutes seules en avion avec une poussette. J’ai aussi pu tester. On peut garder les poussettes jusqu’à l’embarquement, mais sachez que vous serez obligée de la plier pour la faire passer dans le portique de contrôle. Et c’est là qu’il faudra demander de l’aide à quelqu’un. Pour plier la poussette il faut sortir le bébé, oui oui ! Et un bébe qui marche depuis un mois ne reste pas debout tranquille à attendre que vous ayez fini de la plier. J’ai du demander à une dame qui était derrière moi de la surveiller, sinon elle serait partie à l’autre bout de l’aéroport ! ça marche vite un bébé. Vous aurez à reproduire la situation pour récupérer la poussette et rassoir votre bébé. Et encore une troisième fois au moment de replier la poussette pour la laisser aux employés qui vont la ranger dans la soute. Si vous ne faites pas surveiller votre enfant, vous risquez qu’il se mette à courir le long du tarmac ou qu’il passe dans un trou si vous embarquez via un finger!

Voici donc quelques trucs et astuces pour voyager en avion avec un bébé, surtout si vous, mamans, vous êtes toutes seules !

carte postale avion

Freelance

Le rêve d’un freelance : travailler sous un cocotier ~ El sueño de todo freelance: trabajar bajo la sombra de un pino

Voilà ce qui est bien. Projet fini avant de partir. Je n’ose pas dire « partir en vacances », non. Parce qu’un des avantages d’être traducteur – rédacteurcommunity manager freelance et de travailler à la maison est qu’en fait on peut travailler de n’importe où. Oui, vous savez, ce rêve que nous avons tous au plus profond de nous, celui de travailler sous l’ombre d’un cocotier ! Et bien, c’est un peu ce que je m’apprête à faire pour les semaines qui vont suivre. C’était, justement, un des points positifs auxquels je pensais quand j’étais en période de réflexion pour savoir si oui ou non je me lançais dans la vie de freelance.

Ok. Je vais être juste. Le point négatif c’est qu’on arrive rarement à déconnecter, à être vraiment en vacances. Mais pour l’instant la balance penche du côté des avantages !

Je pars donc, comme je disais, histoire de concilier, encore un peu plus, ma vie professionnelle et ma vie de famille. Je pars, le temps d’un été, à côté des miens, je pars pour parler mes langues, je pars pour profiter des plages, je pars pour vivre ma freelance-attitude sur l’île. Je pars en maman solo, plus tard notre ChériGuiri-PapaGuiri va nous rejoindre et là je vais essayer d’être plus en vacances qu’en travail, quand même !

freelance attitude

Une fois ces mots que je vous adresse seront alignés, je vais quitter mon bureau et je vais sérieusement commencer à me pencher sur les valises. Elles n’ont pas encore appris à se faire toutes seules, c’est bien dommage d’ailleurs ! Heureusement, ces derniers jours, petite princesse a été gardée ici à la maison par sa mamie, sinon je ne sais pas comment j’aurais fait, souvenez-vous de comment parfois c’est compliqué de travailler à la maison et faire garder ses enfants.

Je disais donc, qu’une fois cet article sera en ligne, je vais me mettre en mode voyage et que mon prochain coucou aura des saveurs méditerranéennes !

¡Hasta pronto!

freelance attitude

¡Ya está! Proyecto acabado y entregado justo antes de irme. No me atrevo a decir « irme de vacaciones », no. Y es que una de las ventajas de ser traductor – redactorcommunity manager free lance y de trabajar en casa es que lo puedo hacer en cualquier sitio. Sí, sabéis, ese sueño que tenemos todos de trabajar bajo la sombra de un pino! Pues bien, es un poco lo que voy a hacer durante las próximas semanas. Porque este era, justamente, uno de los puntos positivos en los que pensaba cuando estaba en pleno periodo de reflexión para saber si sí o no me lanzaba en ese mundo de los free lance.

De acuerdo. Voy a ser justa. El punto negativo es que es difícil llegar a desconectar completamente, a estar realmente de vacaciones. Pero por ahora, la balanza se inclina hacia el lado de las ventajas.

Me voy pues, como decía, para conciliar, todavía más, mi vida profesional y mi vida familair. Me voy, para el verano, al lado de los míos, me voy para hablar mis idiomas, me voy para disfrutar de las playas, me voy para vivir mi freelance-actitud en mi isla. Me voy de mamá-sola, dentro de unas semanas nuestro querido ChériGuiri-PapaGuiri se unirá a nosotras y ahí sí, intentaré estar más de vacaciones que de trabajo!

Cuando haya acabado de juntar estas líneas, voy a salir de mi despacho y voy a empezar seriamente a estudiar el tema de las maletas. ¡Qué pena que no hayan aún aprendido a hacerse solas! Por suerte, estos últimos días, la mamie se ha ocupado aquí en casa de mi princesita, ya sabéis que a veces no es fácil trabajar en casa y ocuparse de los niños.

Bueno, como decía, una vez este artículo publicado me voy a poner en modo viaje y mi próximo coucou ya tendrá sabores mediterráneos!

À bientôt amigos!