Nous voilà en été, ce vrai éte quand il fait beau à longueur de journée et que les heures passent trop vite pour avoir le temps de rien faire, contradiction totale. Soleil qui rime avec détente, avec des plouf, avec du sable entre les orteils. On rentre et on sort, la porte reste ouverte, éclats de couleur, mirages venus de l’extérieur.
Nous sommes arrivées, depuis quelques heures, depuis quelques jours. Avec pour bagages, la joie des retrouvailles et le déchirement du bonheur laissé là-bas. Des embrassades virtuelles qui deviennent réalité et des bisous réels relegués au virtuel.
Parce que l’été, c’est aussi cela.
Por fin llegamos al verano, a ese verdadero verano cuando hace bueno todo el día y que las horas pasan demasiado rápido para tener tiempo de no hacer nada, contradicción total. Sol que rima con descanso, con chooff, con arena entre los dedos. Salimos y entramos, la puerta se queda abierta, destellos de color, espejismos que vienen de fuera.
Llegamos hace algunas horas, hace algunos días. Como únicas maletas trajimos la alegría del reencuentro y el desgarro de la felicidad que dejamos allí. Abrazos virtuales que se convierten en realidad y besos reales relegados a lo virtual.
Porque el verano también es eso.