Inspiration

« La Chute », d’Albert Camus

Aujourd’hui un petit billet bilingue, on commence dans une langue et on termine dans une autre, des fois, la vie même est comme cela.

J’ai toujours aimé, beaucoup, l’écrivain Albert Camus, prix Nobel de Littérature, né en Algérie mais avec des origines minorquines, sa grand-mère venait du même endroit que moi et elle a beaucoup influencé les écrits et la vie de cet auteur qui ne laisse pas indifférent.

En lisant La Chute, j’ai souligné un petit paragraphe bien intéressant qui laisse place à la réflexion :

«  N’avez-vous jamais eu subitement besoin de sympathie, de secours, d’amitié? Oui, bien sûr. Moi, j’ai appris à me contenter de la sympathie. On la trouve plus facilement, et puis elle n’engage à rien. « Croyez à ma sympathie » (…) L’amitié, c’est moins simple. Elle est longue et dure à obtenir, mais quand on l’a, plus moyen de s’en débarrasser, il faut faire face. » ( La Chute, A. Camus)

Et moi j’ai dit :

« Después de leer atentamente el fragmento sacado de la obra de Camus, el cual me parece de una actualidad sorprendente, simplemente me gustaría que esas líneas merecieran un tiempo para la reflexión. En la sociedad en la que vivimos, donde el tiempo siempre apremia y en la que el hombre se ve perseguido por un ritmo frenético que resulta ser agotador, la amistad, a veces, se confunde con el sentimiento que Camus llama simpatía. Pero acaso no vale la pena luchar un poco, trabajar día a día la amistad, la verdadera?

Parce que je trouve que finalement les mystères de l’homme et de la vie ne changent jamais et la grande réponse reste encore à trouver.